FIDAfrique 3 : Lancement à Nairobi

L’atelier de lancement de la phase 3 du programme FIDAfrique/IFADafrica se tient du 20 au 22 avril prochain à Nairobi au Kenya.


Les objectifs poursuivis sont les suivants :
- Partager les informations, méthodologies et outils de FIDAfrique avec les responsables de projet/programme

-Elaborer le projet de programme de travail annuel du réseau sous-régional de l’Afrique de l’Ouest et du Centre et du réseau sous-régional de l’Afrique de l’Est et du Sud.

- Dégager un consensus sur les activités communes, la gouvernance et la mobilisation de ressources financières additionnelles.

Le programme de l’atelier comporte, au-delà des discours d’ouverture, des exposés introductifs sur les expériences et les enseignements de FIDAfrique et de IFADafrica en gestion des savoirs, et des panels sur la gestion des connaissance et le réseautage.

Des groupes de travail sous-régionaux vont permettre ’élaborer le programme de travail de chaque sous-région et d’identifier les activités communes de collaboration entre l’Afrique de l’Ouest et du Centre et l’Afrique de l’Est et du Sud.

Le programme intègre également des sessions plénières pour approfondir la gouvernance du réseau notamment le comité de pilotage, le partenariat et la mobilisation de ressources financières additionnelles.

L’atelier organisé par l’Association Africaine de Crédit Rural et Agricole, coordinatrice du Réseau pour l’Afrique de l’Est et Australe, marque la naissance du réseau subsaharien de gestion des savoirs regroupant les projets du FIDA et leurs partenaires dans les régions Afrique de l’Ouest et du Centre d’une part, Afrique de l’Est et Australe d’autre part.

Rappel : Le FIDA a approuvé l’année dernière la troisième phase de FIDAfrique sous la forme d’un programme de promotion du partage des savoirs et des innovations pour la réduction de la pauvreté en Afrique Subsaharienne. Le programme sera coordonné par la Fondation Rurale de l’Afrique de l’Ouest (FRAO) et l’Association Africaine de Crédit Rural et Agricole (AFRACA). Le document de projet prévoit trois composantes, à savoir la capitalisation et la valorisation et le partage des connaissances ; la formation et le renforcement des capacités ; la promotion de la concertation sur le dialogue politique.